Nous arrivons un peu avant midi a la station d’Ikebukuro. Notre but est désormais de trouver le ryokan. Chose pas évidente lorsque le nom des rues n’est pas indiqué. Nous faisons alors un grand détour malgré nous, chargées de nos valises mais nous tombons finalement sur un Japonais qui nous propose son aide en nous voyant galérer avec notre plan. Il parle anglais, il nous propose carrément de nous amener jusqu’à notre destination. En plus ce n’etait pas tout près. Nous voici avec notre guide personnel qui en profite pour nous indiquer les endroits sympas à visiter dans le quartier.
Notre ryokan est très bien situé. On apprécie le côté traditionnel de celui-ci. On nous demande de nous déchausser à l’entrée. Nous recevons des peignoirs, serviettes et pantoufles. La chambre est agréable.
On s’octroie une sieste de 30 minutes bien méritée car la fatigue se fait de plus en plus ressentir. Nous partons à la découverte du quartier d’Ikebukuro – sans les valises – et surtout on cherche de quoi manger. Ce n’est pas ce qui manque ici, même si l’heure du repas est largement passée. Nous optons pour un bar à sushis. Surprise lors de l’addition, ce n’est vraiment pas cher comparé en France, et en plus c’est très bon.
On se promène dans les rues, on est étonné par le nombre de salles de jeux et surtout par le bruit qui y règne! On fait un petit tour par les magasins TOBU et PARCO qui sont gigantesques et contiennent plein d’étages de boutiques et restaurants. Vers 18h, c’est l’heure de pointe, ça se ressent dans les rues et surtout dans la gare d’Ikebukuro.
On termine la soirée dans un bar qui sert des ramens (bouillon de nouilles) au porc. Le serveur bien que parlant très peu l’anglais a essayé de nous expliquer la carte.
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