22 oct. 2018

Martinique (jour 12) - Usine sucrière du Galion et retour en métropole

Mercredi 22 mars 2017. Le voyage touche à sa fin mais notre vol n’est qu’à 19h donc nous pouvons encore profiter un peu de la Martinique aujourd’hui !

Une fois les valises faites et l’appartement rendu, nous prenons la route vers la Trinité pour visiter l’usine sucrière du Galion que l’on n’avait pas pu visiter la dernière fois à cause de la pluie. C’est la dernière unité sucrière de l’île encore en activité. Il s’agit d’une visite guidée en groupe. Par mesure de sécurité, nous devons porter un casque. On y voit les différentes étapes de fabrication du sucre roux. L’usine est en fonctionnement donc c’est très bruyant. Il est très difficile d’entendre les explications du guide, il faut se coller à lui pour comprendre mais comme nous sommes nombreux, ce n’est pas facile. C’est le gros point noir de la visite, qui se termine à la boutique où l’on déguste des produits à base de sucre de canne et de rhum. Nous achetons de la cassonade car il reste un peu de place dans la valise !

Usine sucrière du Galion Martinique

Usine sucrière du Galion machine Martinique

Usine sucrière du Galion machine Martinique

Nous n’avons rien prévu d’autre pour la journée, nous décidons donc de retourner à la presqu’île de la Caravelle, située à proximité de l’usine sucrière du Galion.

Presqu'île de la Caravelle Martinique

Nous mangeons au restaurant le Ti Carbet. C’est une valeure sûre, on s’était régalé la dernière fois. Nous faisons un dernier arrêt à Tartane. Après une petite pause sur la plage, nous prenons la route pour l’aéroport de Fort-de-France.

Plage Tartane Martinique

Nous mettons de l’essence, nettoyons la voiture à l’extérieur comme à l’intérieur (il y avait beaucoup de sable). Nous sommes quasiment une heure en avance pour le rendez-vous de retour de la voiture mais l’agence est déjà là, avec d’autres touristes qui récupèrent directement notre voiture de location.

A l’aéroport, nous faisons les boutiques, le rhum est ici très cher comparé aux prix que l’on trouve dans les distilleries.

A la descente de l’avion à Toulouse, quelle fraîcheur, on a perdu 20 degrés !

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